Les limites de l’hacktivisme façon Anonymous
[Lu sur Intelligence Stratégique]
Les Anonymous sont partout, sur Internet et dans les médias. Félix Aimé, consultant en Sécurité des systèmes d'information, propose une analyse critique de cette forme d'hacktivisme. Les connaissances techniques du groupe sont souvent surévaluées, mais elles sont tirées vers le haut par un petit nombre très compétent. La structure, souple et calquée sur le modèle de la do-ocratie ("je fais donc j'appartiens"), fait courir un risque d'incohérence et d'utilisation frauduleuse du nom Anonymous à des fins purement délictuelles.
Mais c'est surtout leur maîtrise de la médiatisation qui explique le succès des Anonymous, plus que les grands faits d'armes comme le piratage de Stratfor, de HBGary, de la cyber-police italienne ou plus récemment l'interception d'une conversation entre le FBI et son homologue britannique.
Les Anonymous sont partout, sur Internet et dans les médias. Félix Aimé, consultant en Sécurité des systèmes d'information, propose une analyse critique de cette forme d'hacktivisme. Les connaissances techniques du groupe sont souvent surévaluées, mais elles sont tirées vers le haut par un petit nombre très compétent. La structure, souple et calquée sur le modèle de la do-ocratie ("je fais donc j'appartiens"), fait courir un risque d'incohérence et d'utilisation frauduleuse du nom Anonymous à des fins purement délictuelles.
Mais c'est surtout leur maîtrise de la médiatisation qui explique le succès des Anonymous, plus que les grands faits d'armes comme le piratage de Stratfor, de HBGary, de la cyber-police italienne ou plus récemment l'interception d'une conversation entre le FBI et son homologue britannique.