Trahis par les téléphones satellitaires
[Lu sur le site de l'Electronic Frontier Foundation]
Marie Colvin, journaliste au New York Times et le photo-reporter français Rémi Ochlik, ont été tués mercredi dans le bombardement du centre de médias de Homs. Ce sont leur téléphones satellitaires qui auraient permis aux forces armées syriennes de les repérer. Selon l'EFF, le gouvernement syrien peut faire pression sur l'entreprise de télécommunication pour obtenir les données, mais peut aussi puiser dans les nombreuses technologies de surveillance. Jacob Appelbaum, spécialiste en sécurité informatique et fondateur du projet TOR, rappelle que les satphones ont des systèmes de chiffrement très faibles.
Trois autres journalistes, dont deux Français, ont été blessés dans la même explosion. Edith Bouvier, William Daniels et Paul Conroy attendent toujours d'être évacués de Homs.
Marie Colvin, journaliste au New York Times et le photo-reporter français Rémi Ochlik, ont été tués mercredi dans le bombardement du centre de médias de Homs. Ce sont leur téléphones satellitaires qui auraient permis aux forces armées syriennes de les repérer. Selon l'EFF, le gouvernement syrien peut faire pression sur l'entreprise de télécommunication pour obtenir les données, mais peut aussi puiser dans les nombreuses technologies de surveillance. Jacob Appelbaum, spécialiste en sécurité informatique et fondateur du projet TOR, rappelle que les satphones ont des systèmes de chiffrement très faibles.
Trois autres journalistes, dont deux Français, ont été blessés dans la même explosion. Edith Bouvier, William Daniels et Paul Conroy attendent toujours d'être évacués de Homs.